Recycling is an essential part of her life.
Valeria Thomas, French artist,passionate of melted plastic , began working with plastic bags in 2002 with the challenge of making “something” with the many bags that can not be recycled and are declared “public enemy No.1” for the environment.
And after a few trials with the iron… it melts. And it’s beautiful!
Valeria then splurged into the creation of small objects, starting with jewelry, then larger pieces, then assembling them with the sewing machine, welding them, molding them. She creates fashion accessories,house decorations and real pictures. Her latest creations are sculptures of jellyfish, with this wonderful material.
A network of supporters has formed around her project in the city of Les Lilas (near Paris) where she lives. She collects bags sorted by color, cutting them, composes and overlaps and melts them with the heat of the iron!
The resulting surfaces are bold colors , graphic. Renewing her original profession : textile design.
Today, plastic bags are rarer in France, it’s true, and that’s good for the environment! However, ValeriaThomas still has a few years of recycling ahead of her… And when they disappeared completely ? She will do something else!
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La récup fait partie de sa vie depuis toujours !
Valéria Thomas, artiste française, passionnée de plastique fondu, commence en 2002 avec le défi de fabriquer « quelque chose » avec les nombreux sacs plastiques qui, non recyclables sont déclarés « ennemis publics n°1 » pour l’environnement !
Et après quelques essais avec un fer à repasser… ça fond. Et c’est beau !
Valéria se lance alors dans la création d’objets de petite taille, à commencer par des bijoux. Puis des surfaces plus grandes, modelées ensuite en les cousant, en les soudant, les moulant. Elle réalise alors des accessoires de mode, de décoration, puis de vrais tableaux. À présent, ses dernières creations sont des sculptures de méduses, avec ce merveilleux matériau.
Un véritable réseau se forme autour de son projet dans la ville des Lilas (près de Paris) où elle habite. Elle récupère des sacs qu’elle trie ensuite par couleur, découpe, compose et superpose, puis fais fondre à la chaleur d’un fer à repasser !
Les surfaces obtenues sont solides et naturellement colorées, graphiques. Ainsi elle renoue avec son métier d’origine : le design textile.
Aujourd’hui les sacs plastique se font plus rares, c’est vrai, et c’est tant mieux pour l’environnement ! Cependant, Valéria Thomas a encore quelques belles années de récup devant elle… Et lorsqu’ils auront totalement disparu ? Elle fera autre chose !